Il y a plusieurs manières de découvrir une destination : la "faire" en quelques heures (ah, ce fameux : "Ah ouais, t'es allé en Chine, top ! T"as fait Pékin ?") ou la découvrir réellement en s'y installant.
Chez Remoters, on a fait notre choix. Et pas que pour l'expérience : On pense sincèrement qu'il ne faut plus traverser la planète pour cocher le top 10 d'un Lonely Planet en moins d'une semaine.
On veut apporter notre pierre à l'édifice et permettre à tous ceux qui le souhaitent de vivre, quelques temps ou longtemps, où ils veulent dans le monde.
Pour permettre ça, il faut résoudre la problématique du logement. Ce qu'on constate tous les jours c'est que beaucoup de gens renoncent faute de trouver un logement abordable (c'est à dire, au prix local) et par peur de l'arnaque. C'est là que nos chasseurs immo peuvent aider.
L’idée de Remoters, c’est Damien qui l’a eue. Automne 2020, deuxième confinement, Damien travaille sur un projet de création d’entreprise (un truc cool, mais moins que Remoters). Pourquoi ne pas le faire au soleil ? Départ pour Tulum, et là : la belle vie, entre la découverte des merveilles du Mexique, et les cocktails à base de Mezcal. Le hic : il vit dans un appartement pas super adapté pour travailler, pas super bien placé, et comme il n’est là que pour deux mois : pas le temps de chercher beaucoup mieux. De toute façon les autres digital-nomads de la ville ne sont pas mieux lotis : ils utilisent les mêmes plateformes que les touristes, et payent donc des prix de touristes.
Retour à Paris. Il faut peu de temps pour que le Mexique lui manque. Il décide d’y retourner mais pas dans n’importe quelle conditions : il prend quelques heures pour trouver un hébergement adapté, et eurêka ! Il le trouve ! Mieux placé, négocié en amont, donc moins cher et avec une pièce agréable pour travailler. Pourquoi ne pas faire ça pour les autres ? L’idée de Remoters était née.
Luc, c’est le repenti du tourisme de masse. Il a vendu des billets d’avion, des séjours à l’étranger, des voyages de dernière minute, et même pas mal de vacances en campings. Le confinement provoque l’arrêt des voyages internationaux et lui donne la possibilité de réfléchir à la suite. Les problèmes de l’industrie du voyage sont bien connus : les séjours courts favorisent l’entre-soi des touristes et peu la découverte de la vie locale. Ils poussent à visiter toujours les mêmes lieux sur-fréquentés. Et puis, il y a les émissions de CO2 de l’avion, est-il bien raisonnable de faire un aller retour au Vietnam pour passer 10 jours sur place ?
Luc ressort de cette période avec la conviction que l’avenir du voyage lointain, ce sont des séjours longs. Donc des séjours où on travaillera sur place. Ça tombe bien, le confinement a fait tomber pas mal de barrières mentales sur le sujet.
On ne va pas écrire un pavé avec toutes les valeurs de l’entreprise, dans lequel il y aurait des mots comme « bienveillance », « ouverture d’esprit » et « résilience ». On garde ce baratin pour notre future introduction en bourse, mais pour le moment on se concentre sur l'essentiel.
Nous sommes des gens normaux, à ceci près que nous avons déjà vécu là où vous rêvez de vous installer.
Probablement comme vous, nous avons galéré. C'était soit trop cher, soit trop loin, soit peu adapté aux contraintes du boulot, soit inaccessible sans le réseau adapté.
Ce qu’on peut vous garantir, c’est qu'on va tout donner pour trouver un hébergement qui correspond à votre projet.
On vous mettra en relation avec une personne fiable, experte de l'immobilier de sa destination, et à même de vous aider à trouver le logement qui vous convient.
On ne veut pas être un catalogue d’offres, on veut être des gens qui aident.